
Elles ont toutes lu les mêmes livres.
Suivi les mêmes formations.
Ouvert leur cabinet avec le même mélange d’envie et d’incertitude.
Certaines ont tenu.
La plupart ont arrêté.
Alors on a posé la question :
“Pourquoi ça marche pour quelques-unes… et pas pour les autres ?”
L'enquête
Entre janvier 2024 et juin 2025, nous avons parlé avec 143 thérapeutes :
réflexologues, énergéticiennes, praticiennes en hypnose, massages, sophrologie, soins holistiques.
Certaines étaient en reconversion.
D’autres en deuxième tentative.
On ne leur a pas demandé “ce qu’elles faisaient sur Instagram”.
On leur a demandé ce qui s’était vraiment passé.
Ce qu’elles avaient essayé.
Pourquoi elles doutaient.
Et ce qui, à un moment donné, avait changé, ou pas.
❌ Celles qui ont arrêté : des parcours presque identiques
Sans se concerter, elles ont raconté les mêmes choses.
Elles ont :
investi dans un site, un logo, une carte de visite,
fait des publications, tenté un flyer, essayé un partenariat local,
attendu que les clientes viennent.
Elles ont aussi :
douté de leur valeur,
hésité à parler clairement de ce qu’elles faisaient,
misé sur le “naturel”, sur le “ça viendra”,
parfois culpabilisé en silence.
Aucune ne manquait de passion.
Aucune ne manquait de talent.
Mais toutes manquaient d’un système.
✅ Celles qui ont tenu : elles ont structuré
Elles ont compris que :
poster ne suffit pas,
créer un site ne suffit pas,
être compétente ne suffit pas.
Elles ont arrêté de tout faire seules.
Elles ont clarifié leur message, filtré leurs rendez-vous, automatisé les points de contact,
et surtout :
elles ont mis leur visibilité au service d’un système, pas de leur agenda.
Aucune ne s’est “vendue”.
Aucune n’a trahi ses valeurs.
Mais elles ont changé d’approche.
Ce qui ressort des 143 trajectoires
Celles qui échouent improvisent chaque semaine
Celles qui réussissent répètent une structure qui tourne
Celles qui abandonnent font plus d’efforts
Celles qui s’en sortent font moins, mais mieux
Toutes disent : “je croyais que ça marcherait naturellement. Ce n’était pas vrai.”
Ce que cette enquête confirme
Le problème n’est pas individuel.
Il est systémique.
On forme des thérapeutes à écouter. À accompagner. À accueillir.
Mais pas à exister dans un monde où la visibilité est une condition de survie.
On leur apprend à faire du bien.
Pas à être trouvées.
Et maintenant ?
Cette enquête a été menée par AlloClients.
Pas pour vendre une méthode.
Mais parce que c’est ce qu’on fait tous les jours :
aider les praticiennes à arrêter de ramer, et commencer à construire.
Pas avec des outils.
Pas avec du contenu.
Mais avec un système complet, qui fait le lien entre ce que vous proposez… et celles qui en ont besoin.
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